horizontales jusqu’à l’oblique correspondant à Q, de là des verticales jusqu’à la droite A, et enfin les droites D et D,. On a inscrit sur l’échelle des pour plus de commodité dans l’usage, les K„ au lieu des et on a ajouté aux les angles 0 correspondants.
Mais les valeurs de cl de K„ sont liées par une relation qui caractérise l’aile, il est facile d’en tenir compte en prolongeant les horizontales jusqu’à des courbes dont l une correspond à et l’autre à K„ ; sur
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chacune de ces courbes, on inscrit les inclinaisons en des points pour lesquels les échelles donnent les valeurs de et de Kv mesurées expérimentalement ; enfin, les points de chaque courbe correspondant à une même inclinaison sont placés sur une même verticale. Le tracé plein se rapporte aux |^-r, le tracé ponctué aux K . Pour se servir de l’abaque, on aura dans chaque cas particulier un tracé tel que le tracé en traits forts de la figure schématique ci-dessus llig. 72) ; les lettres entre parenthèses indiquent les quantités qui se lisent successivement sur l’àbaque.
On a un exemple numérique par le tracé en traits ponctués </</,...</A de la planche XXVI1 : on voit que l’aile circulaire de flèche inclinée à 8° ^Ky = o,o51. = 5^- et ayant une surface sustcntalrice de 29 m* et une surface nuisible de 1,5 m transporte un poids de 1.000 kg, avec une puissance utile de 68 ch à une vitesse de 90 kmjJi. Cet abaque n’est peut-être pas d’une très grande simplicité. Mais on (f •
(J. S, S P, V, Kr, ji’ inclinaison i
de I ailc^» entre lesquelles existent quatre relations dont deux sont variables. De plus, l’introduction d’une aile nouvelle y nécessite seulement l’addition de deux courbes de construction très simple. Enfin, le quadrillage du bas de I abaque évite le tracé des horizontales et des verticales, de telle manière qu il suffit, dans chaque cas particulier, de mener les deux droites 17