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Page:Eiffel - La Résistance de l’air et l’aviation.djvu/326

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LA RÉSISTANCE DE L’AIR ET L’AVIATION

Enfin, le rendement est le rapport entre P„ et P .. : Ces formules montrent que pour une hélice donnée ou même pour toutes les hélices semblables ?» un lvpe donné, les quantités : F C P» P»

a’D*’ ?

V V

ne dépendent que de par suite, en prenant pour abscisses, et ces quantités pour ordonnées, les cinq courbes correspondantes représentent tout le fonctionnement, de l’hélice ou du groupe d’hélices. Remarques. — i° Il suffirait de la première et de la seconde de ces courbes, donnant la poussée et le couple, ou bien de la première et de la quatrième, donnant la poussée et la puissance motrice, etc., puisque les autres courbes s en déduisent. Les courbes qui peuvent être de l’usage le plus courant sont celles qui se rapportent à la poussée ou ?» la force de traction F, et au travail moteur Pw en kilogrammètres (nombre de chevaux du moteur multiplié par 75). Leurs ordonnées, pour plus de simplicité, peuvent être désignées V

par les lettres <x et |3, leurs abscisses ^ l’étant par la lettre y. Une troisième courbe, accessoire, mais dont la connaissance est néanmoins très utile, celle des rendements p, se déduit des deux premières.

On posera donc :

d’où on déduit :

l FV *v

p=i.-p~~r

On aurait de même, pour la courbe du couple résistant : C _ !

et pour celle du travail utile : ,7IP = *Y-