CHAPITRE XX et dernier.
Tableau de la situation actuelle du Superbe.
Trois hôtels[1] se sont successivement ouverts pour lui dans la même rue, qu’il semble privilégier. La maîtresse du premier fut obligée de recourir à la force pour le faire sortir d’une maison qu’il avait, prétend-elle, discréditée par sa malpropreté. Il restait alors couché, l’hiver, jusqu’à quatre heures, et l’été, jusqu’à deux ; puis il sortait pour rentrer à dix heures et à minuit.
Sa présence, dit la chronique, porta également préjudice au second hôtel. Sur les observations qui lui furent faites mille fois par l’hôte à ce sujet, et à chaque invitation qu’il lui adressait de chercher un gîte ailleurs, Duclos se contentait de jeter, sans répondre, sa pièce de vingt sous sur la table, de prendre sa chandelle et de monter dans sa chambre, où il n’ouvrait la porte
- ↑ L’hôtel de France et l’hôtel de Lyon.