Page:Elskamp - Dominical, 1892.djvu/24

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Car ils sont venus les dimanches
rêvés tout au long des nuits blanches,

et par la ville, les enfants
chanteurs de paysages blancs,

font les oiseaux et s’inquiètent
que si matin il fasse fête,

tandis que de messes en quête,
les vieilles gens perdent la tête.

Or, dans les rues et les ruelles
où sonnent fraîches les chapelles,

les femmes en robes nouvelles
s’éplorent de se trouver belles ;

Frère Jacques, sonnez matines
à leurs douces villes félines.