Page:Elskamp - Dominical, 1892.djvu/61

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Or, loin des juifs et d’obscénité,
des juifs et du faux regard qui tente,
au dimanche de la nudité,
et loin des juifs qui voient et qui mentent,

avec Vous, j’irai songer nos corps
vers les étangs nouveaux sous les arbres,
et, loin, voir s’ils feraient bien en marbre,
dans la forêt où la Belle dort ;

ou plus doux, nous irons, en décor,
évangéliser les innocences
de la chair que nous sommes encor
dans le bon vierge de l’inscience,

en des jeux d’enfants, lénifiés
de Vos cheveux et des mains heureuses
des anges sûrs de Nos chairs dormeuses,
et de l’Animal pacifiées.

Mais j’ai construit*