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Page:Elskamp - Dominical, 1892.djvu/78

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et bien heureux sont ceux d’âme assez forte
que le travail attend, bon, à leur porte ;

les semaines sont et les mains sont reines,
et s’en vont du port blanches les carènes

des beaux vaisseaux de dimanche attardés.
Or, c’est fini de très-loin regarder,

en des nonchaloirs heureux de rien faire,
et déjà les juifs reparlent d’affaires.

Et lors, c’est la fin venue de mes fêtes,
et puis la vieillesse aussi de ma tête,

tout est fini, les dimanches sont morts.

Mes pauvres petits

Mes pauvres petits dimanches sont morts.