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Cependant la meilleure basse, et par suite le meilleur accompagnement, est toujours celle qui s’écarte le moins de la série d’accords relatifs au ton principal de la mélodie sous laquelle on l’a placée.
Pour prouver la vérité de cette assertion, voici un air de Mozart sous lequel trois différents genres d’accompagnement ont été écrits, et qui, tous les trois, n’ont entre eux que des rapports de tonalité indispensables avec la basse originale de l’auteur, basse que nous reproduirons plus loin.