Page:Elzéar - La Femme de Roland, 1882.djvu/24

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— Absolument rien, mon ami.

Une nuance de pitié méprisante flotta dans les grands yeux de la jeune femme.

— À la bonne heure ! fit Jacques repoussant le tiroir du bureau. J’aurais été désolé que ce projet te déplût.

Allons… allons… assez flâné… il faut que je me remette à l’ouvrage. Veux-tu ?

Suzanne, silencieusement, laissa glisser la draperie qui la couvrait jusque sur les hanches.

À ce moment, une portière de Smyrne se souleva, et une tête de jeune fille, un peu pâle sous ses cheveux noirs, apparut.

La nouvelle venue ne pouvait voir Suzanne que de dos :