Page:Elzéar - La Femme de Roland, 1882.djvu/46

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palette et esquisse sa Suzanne au bain. Huit jours après, il en était fou. Après deux mois, deux mois de supplice de Tantale, elle céda. Ça, ce fut une faute, direz-vous…

Et Ephrem secouait sur l’ongle de son pouce, jaune comme de la corne, le culot de sa pipe.

— Ne craignez rien, continua-t-il… Elle le connaissait bien, son Jacques. Avant la fin de l’année, le bon naïf l’épousait. La farce était jouée. Mais motus… voilà le père Rabat-Joie.

Et Ephrem, en grognant, s’enfonça dans son fauteuil.