Page:Emile Zola - La Terre.djvu/113

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
113
LA TERRE.

pas en détails sur les abominations qu’elles avaient vues, le docteur, gravement, déclara :

— C’est un malheur, un grand malheur… Il n’y a pas de plus grand malheur pour les campagnes…

Un bruit sourd, une sorte de bouillonnement, l’interrompit. Cela venait du mort, oublié entre les deux chandelles. Tous se turent, les femmes se signèrent.