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Page:Encyclopédie méthodique - Amusements.djvu/67

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' :^ ;;-’['- :s.si Aï’îMy.-.’ ;

.

y-A/i ;ïvr

Le plus feveréobjét parla persévérancej

laisseàkfin emporter,

-

' .
.-}’. :’['"’.

fí°.À6. ’ y’-"’ '—. ’/. cQuòiqu’elle"aitûriamoure-ux/

Elledoit bientôtpreudrëun-époux-à -fáfuite y - , Parceque le passél’ayanttrès^bieninstruite,

y Ellefait qu’un & uri font deux.

["y.,-s. s yV-, ;N°, z^/ssf :[f :r- :y

/, ;

/ :-Ta femmet’aflianquédesolj Maiscelane doit pas te semblerfort ét-range, ’ ISÏ’ayantfaiteu celaque te reudre lé chaugê De ce qu’ellea reçude toi. /.- ..---./fNp. z§, ::’s".. : :.’.'-" y,’- :. :’-Dans, .íetransport-déson c-our-roux/ ’ Ellefé vengera-d’autruisur-elle-stìêmejÍ : : Et par le seulmoaf d’un désespoirestrêmej /’ Le çloîtresssera sonsépoux. // ; .’/. ;" : /.’ :;’" ; ;sf : ^yisy-./y^C^y .//- f-’ :

- /’" Cétte’demaBdë’sànssbefpiíi, ;;-i s ; s ; : / »s ; Prouvelessentiifiensd’uneameun-peujalèufe ; Mniscrpis-en’toriAmante, pu .crpis-«nton épouse, Etssepénètrepasplusìoin. .’ ,(//„v" ; ;; : ;:mja

"sf.’ !: : ;:"’"

’ : OiiipoUfroitjugerau ;i)esoin,j ;•’ ;"" ’/'. Que jamaisde spn’.corpsellearasait d’usage ;

láais sipar lesdésirs,Tamourfáisoitnaufragej. Le sienserojtdéjà bien loin. ^...^’Ss-’^^’s'i, .. :-s-,

-..

OB-fie :sàafóít.t’-endirerien/ ,

- y Quj te puisîedonneraucun fujét deplainte, Puisquecet amour dontson ameest atteinte, Est encorplus fort que le tien.

Vy’.-f/ ;/’
, ::./ m/jzf

, :..-/..-’ lí eserce tout son jouvoir / ,-.-’ Pour vaincrecet amour qui par toi l’a su prendre : .- _ _ ïyíaisil estdanssoncceurcòmmeun feu sousla cendre ; Quibrûleíans fe íajrçvpir, ’ _.

.1 .,,’ -

,’.N°v33f.’.

’.'" Le trafic est.ce quillefaut j - "• :-/. Par luita boursepeutfe’relever. ;en bosse5 Ala.eour & par-toûtilest^Ius d’un.négpce,. ’Pgr.’-ouJ’b.^ SonEspritIa ttorâpe,-ébloíîi Du ravissantportraitqu’on,faitdubéguinagey Mais qui lui parleroîtdesdouceursdu ménages" Oh ! qu’ellediroitbienmieuxoiii. ^

s ;,s,s ;r ;, :/Mífr ;: ;.’-// :,fss :’ Que..t’importë-t’îldé savoir1 Siton marifréquente&va voirquelquebelléy Pourvuqu’à tesdésirsil ne soitpasrebelle, . / : Et qu’il fasseavectoi sondevoir ! "/" :/ ;: :f/’N°.’-$<>..’. r’".’..’. :’ : "V ..’-. Elle n’en peut avoirque deiix’,'.’ )...’. Non pas qu’ellen’en puiáeavoirdavantagej Maisc’estque sonmari, qu’onfaitêtrepeusage/ Use ailleurs,tousíesfeux. /

-"

’f/. ;;’. :;N0v.i7-’ ;- :V ,’.. ;/, fi.-. N’épargneni trésors, ìssíoios,.’."’ .-~- . Pour dlunobjetfi beausurmonterles capricesf La suite.t’apprendraque d.esi grandsdélices . . Ne pouvòient-rriéritetiuoiris...//.". •’ ;'". V . , . ’.-’/NVfS. ;’ / ;.- : Eucore«jUesondeuilsoitpassé.,’. Ellen’entrera pasdans.unsecondménage, , :. Parcequ’unjeuneamantbienfait, discret& sageS’. Faitl’officedu-fïtpaffé.,’-. '•"’ ,’• :/.’ "’ ..NV39.. s y • Pourquoite donnerde Tembarras ; Pour savoirsi ton front,estornéd’unpanachéj Ne te suffit-ilpas que ta.femmele saçhc Etu’onriel’igaorepas. . .’... NV40, / / ; // ;;"// :/ Ton époux-fea-revátu. : -,/ De ce qu’illui faudrapour te rendrecontente ; / > Puisquepour satisfaire*en tout pointton attente^ II aura beaucoupde vertu. f ’fy -.’-. Mp,/4Î.. - / ’ :- :’ ::.-.

. :.. : f.

’-' : Ne-te règlepas fur lestraits /. Que pour t’en aflurer son.visage’temontre/ Lafrayeur, & Tamouren semblablerencontreS Produisentles mêmeseffets.

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sf-.s" - ’Ellene p^itfedispenser : "’ /’/"" ;-Parfoiblesse’autrçfoisdesele laiàërprendrei " ". :’ : -• •"•’ ’- ; MâiS