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- Maiselle sàuroStmieuxà présent.s’eii.défendres
- Sic’étoità recòrnriiencer."’./
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’/'N». 43..-.. -Ne doutepoint de son amour, .’., /Ni-de ceque ton coeurpeutfurie sienprétendre-, - í’3 ?uisqu’elle.a pour chacunun sigrand fondde.tendre,j Qu’elleen aimeroitcentpar jour, f’--/. ’ ;:’v ,"N°- :"44- '-. "
- "•. ,.L amourestpar toi vainqueur,"
.."Tandisqueton objetfe présente-àfa-vuey y ’" -- /Maisne të.voyantplus,1a premièrevenue -’ .f ’. ’ fait le mêmeeffetfurson coeur. .//’- y"/ 1 ; N°. 4 ;: ./ ." :-/ ;/." f-- Pouracquérirbien des écus,-- Parmilesgensle "robeacsiètequelqueoffice| f/Leplusgrandmalpourtoi dansce.douxexerci.ee „ -/-,. C’estd’êtreau rang desçoeûs.. // ’"-’,N,°. 46 ;-’ . )
- Sisonsort lui paroîtheureux,
. . ’ ^-, Lorsqii’àpreriàrele voileun premierfeuTeugagé, Elle changerabientôtde ton8cde langage, Lorsqu’ilfaudrafairedesvoeux..- • ;--" "’ ,’- :N°. ;47v. - v ’ ;' :; V Celle quifaitçetjtequestion, ’ ;N’estpas assurémentbienfondée à-lâfairé ; ’- "Puisqu’iln’est pas.de jour/, où de fe satisfaire 1 EllemanqueToccasion. ... ’"' -.’,.’- ^P-/& Cettefemmeaura plusd’enfans ’ /,- " . Queson jalouxrnári.n’enpourrajamaisfairej Jiíais.quoi ! ne peut-qnpasà-la-soissàdsfaite ’.' • , Et fpn époux& sesamants. N0.’49-s" - tla’coeur plus tendreìquele sien, ’Pourroittoùt accorderáii-xtransportsde taflâmej . Maiseommek ;raison dominesur son amey _.
- ..-
-. • " / : . Tu n’ensspis.espérer.rienw "r" : ... s y-". . / ;’- ’W.-.íjo... ::. -.Elle-vivra furle.çommun, .- Et s’app.ercevrabien par un fréquentusagé, Que qui-.n’apas.depoux, ; en a biendavantage ’ f Que celle à qui on n’en voirqu’un. AmufemensdesSciences ; ’. "N°. su Celui pour qui tu veuxsavoir, - Sifa femmeconserveune filmefidèle, N’a, pourvoir d’un cocule plusparfaitnioBèlé,.
Qu’à regarderdans unmiroir.’ N°. JÍ..-’. - Un hommebrutal& jaloux,
- '
Infidèle, joueur, & d’une humeurchagrine,, Estceluiquaujourd’huile ciel te destine !., •Afind’enfaire ton époux, y f
- N°/f^ ;y ..../. ;; :;,/’-. ;../
Tu dois"avouercet enfant, ’"'•’-
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Gommetu Tas.été d’unqui s’est cru ton père,,’..-.". .- Sâmèren’ayantfait que ce que fit ta mère,u
Avectoa père.entefaisant. ’fr.fi
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" N°, S4* ’..’
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’- ’- Dès qu’elle eut ’atteint son printemps/ : Elle s’en dessaisit :avec beaucoupdé hâte , Parce,qu’elle saypitque çe bijoufe.gâte j Quaad on le gardetroplong-tenips. ,.-’ - ’ A ce que tu prétendssavoir, Tune recevraspas de précisesnouvelles^ Parce que :ta maîtresseest du nombrede.celiës. Qui changent.dumatinau fóii-í ’. ’~ -. .’ ;N*. ;$$. i’. ’ ::"’ : Tant qu’iln’aura rien de toi, Tu le verrastoujours’soumisà tori empirey , Maisdèsqu’il obriendrace qaé son cêurylefírc.j . ---•’ ^1 n’aUraplusamour, ni foi. / ... Nò. )SJ- :
- Pout Thonneúr&pourí’intérèt,
D’unechargede robe achèteTëxer’cicè ; / - . Sic’està ton avisacheterla justice, /,’ 'sTu pourras’lá.revendreaprèSi ’/- /’.- ’-.-/--
- N*. JS.-
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’ fi ... - ;: - - . . -’ 'Parfa merë ellea sisouventy :•_ Desplaisirs.del’hyrnenoui tracerPihïagfëy Qu’on doit craindrepoiir.elleupévidentnaufrage ;,/ f SiTonlúipàtiédëcpiív’erit..’_ ’ :-.. . -f ;. : . V ’- : ’r' :^0-.59^yy f/ ’ :'.’ ]’".’ • La lecture de cênt romansy . L’à tellementrendue avidece caresses/
H.-