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ascetteédilev ontétésortisdeétâè- chacunil a*ex*&u»t au’juivoj.A-< m.»<• tpai lues du»cette cgU£ey omété portes de étâèqai endroits de ~¡ ontètë portts deqm ren» endroit»de Roue il y a lieu de penférque celai dont DOtsspartonsun appartenu au tc.nplc de Jupiter & de Junon. BATTANS s. m. plur. Ce sont dans les portes & les croisées les principales pièces de bois en hauteur ou s’assemblent les traverses.

On appelle aussi battans les vantaux d’une porte. On dit une porte à deux battans, lorsqu’elle s’ouvre en deux parties. (Voyez Porte.)

BATTE, s. f. (jardinage.) Instrument de bois qui sert pour battre les gazons & les allées. Pour les gazons, il eft fctnhlabW a celui des lavandières étant une efpêce de prisme avec un long manche ; pour les allées la batte est compoicc de longs manches po&s dragonalcmem fur un gros billot de bois.

BATTRE v. a& ( CmpniÉo*.) Ccfl r^âioa de frapper une matière pour l’écraser ou la comprimer. Aiefi oc bu le plâtre pou»Tectafer, te ter ponrk comprimer& augmenter & fermeté. On bat pour b mené raooo dJfièrcn» ouvrage», tels que te pavé, les aires ca mortter.b macoonerie de blocage,le bétoa. Les anciens bartotem les» enduits ponr en *af,Mtrrm :rla ’pw&ft ?’ & les rendre f**> AwALp»Qeâ à cette opération ^tToo doit anriboer «a partie h {blidkcdescooftraâkm » nnpKS. Ccô i cQe coe le Z^Hcode Naples, & le cw^b de Vesatie doivent leur CBnfifhnre& leurdurée. (Voyez Aire.)

Les mars de Rûy es Dauphiaé oefou redevabie »de leur &idke qu’à ravage où Toncode bien Adsnrbcenxdoot oa les cooânitt.

L’opération de battre une matière pour la comprimer, & en augmenter la densité, en diminuant[illisible] son volume, s’appelle aussi massivation. (Voyez Massiver.)

BAVAY. (Voyez BxCatom.)

BAYE, s. f. On entend par ce mot toutes sortes d’ouvertures percées dans les murs, comme des portes, des croisées & même des passages de cheminée (Voyez Fenêtre & Vue.)

BEAU, adj. m. La recberebe do i^ Se de foo cficoce «*a produàwfiai’aprefeKooeCet dttpnaesJ nffHftBtwfrfpour roojet îiiqurl T"Tttendaient. LeI au po~a~r ~rar ooocc~s 1a am" da Au» dan*nn acal principe ont vouluqu’il fit une naiTlir aw propec «a pent «oaibre d*pbîea iccsjabU de RWculcrca aoot les idéesde toutes les oofiki ou propriétésaa’ony adnûrc,8c dont il est la source. Les autres, pour avoir trop gèaeralisé leurs principes, noiopué lmii iMVmiiiiii, & étendu les notions de beau, en ont fait un composé de qualités, dont il semble Ctrc pbnot le résultat que le principe. D’autres enfin ont conclu de cette diversité d’opinions, que le beau n’étoit qu’une chimère de l’imagination ; que puis-qu’il étoit de nature à échapper aux recherches de l’esprit, il falloit le mettre au nombre des êtres de raison ; ou que dépendant de la fantaisie de chacun, il naù&ttinqu’aux yeuxde Cuaqu -««• beurcuieillofion aveugle.

Se poorrok-a donc que b beauté oVût rien cT*Wolu ? Qoaod mcaw on prouveroit qu’elle n’eâ que l’ouvrage de Hiparîtwrion qui attribue gratuitememaux objets une pcr&caoaqu’il»o’oct pas Tidéede cette beauté dont chaquebooune porte es lui-même une meiurc digcremc fi Ton veut ne icroc-t-clk pa> tottjcun le probléne à recoudreî Carmd*oule» bomnesauroient-ilsl’idée duU^u fi ce Umin’cxtâott pjs ?

Il n’est ni de notre ocfet m de notrereaort de flous livrer à ces <kffuff»r>m mctapfayijque»qui ne fooi à la ponceque d’un petit nombre<fbommes 3i pt eique(amaisdecasa qui aunient ceï pendantU plu» graad imerêt à les coarpreadre. Il importe peu i l’artiâc de (avoirce qa’cftb nanm du betu i lui uttporte de cotmoiuelesroutesqui y conduùcnt. Il oeô pas tenu de répliquer, il doit le faireCcatir.Peut-êtredcbadroit-Uà Vamâe qu’un traité de Umté pratique û Ton peutdire doot tous les principes misen aâîon par Tapplication qu’on es ma facultésde frac, ic au* ouvrâtes de Tart, lui fcroientieanr fit voir, ce que ton le ’•«-iht ordmatrementde faire comprendre.

D’après cela, il (dnale queLesotectples vaudroient mieux que Ws leçoos il femblc qae roa devroitrccncrcber ce om pbk avant de re. caercfaerce qui cft beau, fi cette route n’était pbtt propre encore à égarer. Or les codes pbi- &nt parce nu*eUcs(bot bdks, & ne ton potot bette» parce qn’dks pranVmSi ce qui plak etoit le principedû **», ce principe u9ok k pua arbitraire de toos.

Le but de nos recherchesdoit donc être d*ez»> miner non rcncncc du L**m,( *wwU J&oma. de mtufky.) au*» lesonalûéspar tesqaeOctndee du *m*dans ks ara fiedéveloppe en nota «an W ^-n’iii de Tiir ijâ itini rnirpifan fnw fuf cepôhlcs d’en recevoir ruapreuMS.

Que le Wtf»(bk une qualité oàntâble, qsi nom £ù {encîr( connofarC& niaser les obiets dans lexpefa.il se trouve ou qu’a ioû tme r*onioc de ninliaéi tchrives aux Civerfa &cuhcsde notre aa«equipeuvent en juger ; cette quemoncâ smcxBxmoaHt a pcmrenccivce ou unecoettiott de awts.Ou-iltoit kpriacipc.oa an*Uibitlerelal. des qualités diverses des objets, c’est toujours à connoître ces qualités que doit rendre notre étude. Ceux qui recherchent la notion du beau, indépendamment des qualités qui en résultent, recherchent la cause pour parvenir aux effets ; ceux qui s’attachent aux qualités particulières, indépendamment de 1a notion positive du beau, veulent, par les effets, renoncer à la cause. L’une & l’autre de ces routes peuvent mener au but : mais la seconde est plus analogue aux actes[illisible].

Au reste, on ne sauroit nier que le beaun’affecte différentes facultés de notre ame, par une impul-