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bordages, (rente courbes, qaatre poupes, deux nez, yixigt mon tans de femelle, deax pièces de •ceinture, feise prolongationfl de ceinture, deux.pLit8-4)ordt, deux tranrerfee mobiles.

See principales ferrures foQt : deux bandeaux de bec, quatre anneaux d’embrelage avec quatre —écrous & huit rosectes, huit pitons de clameaux à pointe & à erocbct arec huit rosettes Bl huit con « tre-rivures, ^atre Imdes de poupées arec huit boulons k, hûtt écrous.

nfant, pour construire ce bateau, trois bateliers calfats pendant dix-huit jours, trois charpeulîers pendant dix-huit jours, troi » fcieurs de long pédant six jours 5 ce qui fait ua total de cent ^ràŽBgt-fix journées.

Bateau d'avant-garde. Sa longueur est de f o met. 88 (33 pieds ^, sa largeur au milieu du • « orps eH de 1 met. 78 (S pie£ 6 Douces), $l sa lurateur de o met’76 (18 pouces o lignes). Son fofidelt fbroié de trois planches en fapin, le fou bprdage de deux planches aussi en fapin. Les prîn’ctpales pièces qui le oompoij^at font t neuf femelles, dix-huit GouriE>es, quatre poupées, deux aez, feize fiiufles courbes, deux pièees de ceinture, quatorze pièces de prolon^^ion de ceinture ^ (feux ptats-bords, deu^ femmes extérieures.

Ses prtttcipides ferrures fout 1 deux baikleaux de bec, qualre anneaux d’embrelage à piton ^ quatre pilons de olameaux à pointe 8& à crochet, un anneau & son piton pour amarrer le bateau, quatre boulons pour Passemblag » des poupées.

BATON ferré. Ancienne arme ofiénfive dont le tervoient les cavaliers ; il étoit garni à chaque bout d’une peinte en fer.

BATONNAGE. Opération par laquelle on constate l’état des réparations à mire à une arme portative.

BATTAGE. C'est l'action de battre, broyer, liélanger dana des mor^ers en bois, arec des pilons de bois garnis d’une botte en bronze, que eau fest mouvoir, les trois matières eompofant la Kdre. Le temps du battageduroit autrefois vingtX heures 5 il a été fuocemvement de trois heures à, demie, de six heures & de quatorze henres. Cette dernière durée de temps eu celle aâuellement  « xigée.

BATTANT de sous-garde ou d’en bas. Pièce 4e k garniture du fusil, placée en avant du pontet, fewunt à airéter de ce cèté la bretelle du fufl, qui s’attache par Vautre bout au battant de k gienadièfe’G^est une efpèee d’anneau carré de peu de largeur ; iea parties font : ies oreilles, son pivot 81 k queue du ^rot.

Ce battant est retenu, dans le fusil modèle de 1816, par une goupille tronc-oonique dont la téte


arrondie est placée dans Tencafirement de la platine, de manière k être recouverte par cette pièce. (Voyez le mot Sous-oaude.)

BATTE. C’est, aux fourreaux de sabre en tôle, la partie de la cuvette qui £e loge dons les fourreaux.

Batte. Petit outil en bois en usage dans les forges : il, en a ()e plaies & de ronces. Avec la batte plate on ferre le fable entre le modèle fc les cdtés intérieurs du châills, & autour du jet ; aveè la batte ronde on le comprime eu le frappau^ fortement, pour achever de remplir le chSflis.

BATTEMENS du boulet. Ce font èt\ enfoncemens elUptiques que forme un projeâîle dans Famé d’une houche a feu, par son choc. Ces enfoncemens proviennent des chocs que le projectile opère dans son logement, sous la preflion du flt^ide élaftîque de la poudre, commençant à s’é^ chapper par le vide que laîffo le veut du projec’tile au-denus de lui. Les battemens fo rapprochent du fond de l’ame à mesure que le logement du boulet s’approfondit. A vîteflfe égale, Ijw battemens font comme les poidii à ! à % boulets ; ain(i ils font plus violens dans le 24 qpe dans Iç iff ; ils font aussi plus précoces <c plus fréquens, à raifojji du plus de longueur à t^ pièces.

BATTERIE. C'est, dans les armes à feu portatiyes, la partie qui couvre le boffinet, contré laqueDe frappe la pierre quand le chien s’abat, prodjait des étincelles 81 aUdme Pamorce. La parlie frappée s’appeQe lajucej elle efè reçoit vert^ d’une ieuifled’acier : la partie qui coûtiie se bafflnet s’appelle la table, Pqfsiette, Pqffi/h ou /’çntahlemenU

Batterie brisée ou à ohaniièrev Cette pièce-, epL porte une charnière comme son nom l’indique, peut se i^nverfév en aVant (ans que la partie qui couvre le baffinet laiffe l’amorce à découvert. Il en est une autre dont Pentablement est fépar^ horizontalement en deux parties qui se réuniffént ^ volonté au moyen dfun verrou à reffort. Quan<l on ouvre le biolnet U que le verrou est levé, 1 » partie inférieure de l’entablement couvre le bafflne^ & empêche l’amorce de se répandre.

Batterie tournante. Elle est mobile for un pi « vot, de manière que la &ce se retourne dans ime position diamétralement oppofée à sa fituation naturelle 5 par conféquent, il lie chien part inopinément, il ne rencontre point la batterie, & l’arme ne fait point feu.,

Batterie de canons. C^ k réunion de plu^ fieurs houches à fou pour tirer sur des troupes ou for les objets qui les couvrent & les protéffenf. Les batteries premient lea noms des bouches à


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