Page:Encyclopédie méthodique - Philosophie - T1, p2, C-COU.djvu/100

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CËL CEL 6~7 T11c JE<JU Vo!cile pauageque j’ai déjàeu occafionde citer. M ~) On montre, dans le pays des M~t/M un /M bocageo&regneune.~c«Me~< Le prélre peI t~ au cultede la divinité, quiy ct cft habilléM femme. La divinité M~< s’appelle & Alcis.? prétendent e’~ /<- dieu romains w~f ~M /<"cm C~r &dePollux. On ny de voita<< M .M WM - Mpays étranger.Toutce quec<M~< & communaveccelle des <y deuxy«MM*AoMWM ton <<< /f< ar Tacite avoue qu’on ne voyoit dans le bocage confacréà ni Ëmutacre ni vethge d une inperMon étrangère. C’e<t une bonne preuve P; que les naharvales ne connoilfoientpoint les deux hétos qui avoient aCiae à lexpedtuon des argonautes. Mais t’hiKoriendit en même tems, deux chofes qui méritentquelquesré- flexions. t". On vénéroit dans cette forêt deux jeunes d, dieux ou hommes~ (7M’MM) qui paient pour frères, t*. Les gens dupaysaCurotentqu Moitla même divinitéque tes romains tervotent tousle nom de Caftor& de Pollux. Ce que nous 3 avonsdit nMqu’icide la religion des germains J & des autres peMptesC<&M,ne nous permet pas de croire qu’tk ayent jamais rendu un iervtce religieuxa des hommes mons ea vMns, ~eunes ou vieux < maisil eft certatn qu’ils phçotent des divinités dans le foleil .dans la lune Il dansl’Mr dansl’eau ce dans le feu. t. Nousavonsv&autSque felon leur domine ° tous tes dieux (ubahemesétoient frères enfans dudieu T<M & de la terre fa femme.Peut-être n qu’ils appelloient ces deuxpnnctpes, les dieux n 1 Meiens,Sc!es etpnts qui re&totentdansles é!ë- mens tes dieux nouveaux.AmC fuppo<ëque !MramainsëBtendi&n:par C~or & Ppftux ou !e<bteitCt!a!uhe, oudeuxëtottesdoputnyen Moit ordinairementqu’unefeule qui fut vtHNe,$ ou un certainMétéorequi fe formoitdans atr, a ou deux génies, dont Tun prëudoit au jour & ) Mtrea Mnuit, les naharvalesont pu leur dire < qu’ils avoientdans leur paysune dévotion tem- bbb!e. t J’ai rapporte, cî-deuus, un paCagede Jules rc~r porte que~M~~M <t<&’feMaf furtout I ~<w ,& ~fw~M Mars jJ (~ Apad Nahtrv~M atmqo~Mht’OM M~ Kndituf.Pr.tCdet &acetdMmMhebnonMtn. fed DMMb iMMpMMtOMRoman, C~MwmMhtcaMMe’M~ m~MM.~m numinis Mmen Aiett-MtMt Stm~acM, nuttum ptMpiM &petH’nomtVC<bgMm,ft&))trM Mnen, u[ Mventt veoetMtUt. T<!<t’.Genn. 43. i w%< f ~t~ F ne MiM~Mj &~M’<&avoient à peu même a fentimentfur le fujet <~efes ~w~t~f queles «Ht.M re peuples.J’ai auut eu occafionde montrer ce que c’étoit que le Mercure l’Appollon le Marss le & le Jupiter des gaulois. ’y A l’égard de leur Minerve, j’auroisbeaucoup de penchantà croire que c’étoit celledes grecs, &:desromains.JulesCéfar dit (~), que Minerve préfidoit dans tes Gaules aux métiers o~ aux arts mëchaniquES.It femble que ces idées ve- noient des étrangers car felon la théologie .g des gautoiSjc’étoitMërcuret bu r<’«Mf,que l’on ne regardoit comme l’inventeur de tous les arts. Il paroit d’ailleurspar Polybe (!) que le culte de es Minerve ëtoit déjàétabhj vers l’an i deRome parmites infubres qui étoient unpeuplegaulois de l’Italie. Les infubres avoient peut-être reçu g~ (on culte des latins, & il pouvon être patte de Marfeille dans les Gaules qui font au-delà des Aipes. Cependant Solin parlantde la ~tinerve g~ des habitansde la GrandeBretagne dit qu’elle, préCdoit (4) félon l’opinion de ces peuples aux fontaines, Ceauxeaux miné’ales.En ce cas n~ la Minerve des Celtesauroit été l’un de ces ~ë. ics qu’ils placoientdans l’élément de l’eau ce dont j ai parlé ci-delfus. (~) ras Tacite affure(6), M’<M<~rttf /Mcv« j /!t’- ~KFt<~/ac~M à Jt~. Je a’<K dn-ii pu frM <tOMV~r~’ la M«/<&/*on~M<dececulteétranger, ficen’ y« l’image m~mc quif~M~t mt v<M~MM Liburnien montrequeceeulte<< appor- d’ailleurs.J’avoue que Tacite me paroit ici en oppofition avec lui même. Il affure (7) que les germains ne repré(ëntoient pas les dieux fousht tre torme de l’homme, qu’ils n’avoient ni fimulacre, ni objet fenfiblede leur dévotion. Mais s’il en IL1 (t) Minervam dicunt operunt atque artiteioams initia tranfdere. C<tr. 6. t7. (3) P. Furio &C. Flaminio Confutibus, Infubre omnibus <imtMin unum coatis, aureis etiam illis auz immobttia nuncupant, ex ade Mmcrva: promis 6K. f~yt. t. f. ’t9. (4) QuibtMfontibus, (M/MH) przM e<t M:aefvz numett, in cujus zde perpeMus:ga:s. SeNa. e~. S!. (.) M. Bochart prétend que !a Minerve des GM- !oMMoit la lune, parée qu’on a trouvé dam t< pays de C<M(/enMM une tntenption qut porte jMim!’t<t~Mt- &m~, & que BetMama, Bgntne, en Pt~ntotfn, la reine des cieux. C . S. P. ?&. <’y 41. 737. «) PaK Suevorum & Mditacrincat. Unde,cau<a & otizo petegrino facro, ptrum.compert,t<tUqudd, <!gnumipfum .in modum ïjbùma: Sgnratum, docer aoyeRam MUgtooem, T<Mh.G. «y. 9’ < L?] r<M«. G. f<f. <.