Page:Encyclopédie méthodique - Philosophie - T1, p2, C-COU.djvu/51

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CEL CEL CEL d’~<<m <&B/fMM qui croit que (ï ) HwtaK~, J ou j~M«t/&/ marquott la colonne Univerfê~He ) le fimulacrede cetu: qui (butientl’Univers. Tous i les peuples Scythes’~ en génëfalj fërvoientle < dieu Mars. C’étoit leur grande 8ee~ quelque manière leur unique divinité puisqu’ils ne ctoyoient pas s’il faut s’en rapporter à Héro- dote qu’il fut permis de consacrer des < Cmulacres, des temples& des itutels à d’autres dieux qu’a celui-là. H s’accordoient(t) MMa lui OB"!rdes Vi~i. J mes humaines &Ie&nulacre auquel ils at- Mchoicnt~bnculte étbït~une ~pee. Les anciens b~bitansNel’ïtalie fcrvoient,=3ace qu’on prë- Mtîd le mêmedieu <bus le nota de ()) M<t-ji a~, of le Smulacrequ’ils lui confacroient ne dineroit guère de celui des Mythes (4) c’étôit une halebarde. Au re~e entre tou! les peuples Scythes oc Ct&t~il n’y en aveit aucun qui panât pour être plus attaché au culte de Mars~que les (f) Thraces. S’il faut en croire les poëtes, cedieu(6) étoitné enThrace. Il yfai- <Mtfy) (on(ejour ordinaire. On y voyoit même (t~ Tnmeum Mgn!non pMVz magnitudinH, in al- <t)mMé&wnt,M) divo co!ctMnt, patria eorum lin- p)à ÏnneaJht appeMaate:. quod latine dicttut uni- VMtMMcoMKMa,quan mMeneMomnia. ~~am.Bfem. M~,t. Selon cette etyntotogie, IrmenM, iemit au- <Mt qMeJedenMM~M. (t) FtHM* M)t))M:e<e<t M<ttiï fimutacrum. Ex capt!v!< centeCmmn quemoue immolant. Hero- ~t. <i. Man omnium Scytharum deus ei pro CHtMiaeti~Enfes & Teatona ( al. Cin&ofia) dedi- eant < hominet~uepro viSinut feriunt. Pot~. ~f~. M.t.M~t. ~t. Populis MHsdeus Mars c<t, pro timMhcfMBn<~ eotunt, homines victinMt habent. ~N<t. eap. *t. p. ’3*. ~3) Msts ~fa!e Mamers. Fit<w de Z. f . ire. (~ Ex VMroM difcimus, Rome antiquitus Martis Cmniacntmhm~MnMNe. <y<m. ~«. CeAMt. g. P.< Thraces deos hos Mot colunt, Martem, t.ib~- mm,DMBimt. Sed Reges, przKr popuiarM, etiam MereunMn. ilerodor. < . 7 . Mars quem Thretta colit gtM. ~<{/<’a.1~ ’<. MaK Thracius. JM!nMt.f</M. c<y tt. t<)t. Mars dedidir Hebrum. Prudent. tontnt &)raMt~< M. 494. Martem Thracibus. ~«<o<t. ~p<M.C<<nn. jj’ <T4.Mars donat Rhodopen. ChM- ~< de &<p<«Jv<by. lib. 147. Gradîvmnqtte patrem, 6ct!cit qui pfzCdct arvi:. F! JÎ<t<M. 3. tt. (6) Quis SpattMMt foitH*Mattem nonn<AEp:c!!ar- mot vct~r Qu)!inThmeia fuiH~ptocreatum ?nonne SôphoclesAtHCM,can~M coa&ntMnt!bu<theatris ?1 ~<fMt. Nt. 4. ’7~. (ï) t!U po&qttant tortibM viaeniis Mut; Ctnt, ftatim impetu Mo Mars quidem in Thraciam 1 dépendit, iUa vero ad Cyptunt. H<"ner.0<~ t. ~3<o. Quantus Bi~on’i* !te Gfadi’s* i&e*~ r Belligero rapitur curru. ~<NM& Nt. t . 4);. ÇmMtapud telidum. corrut quati~ tl~MHebrum, Et GeticM (bivit fervenri <anguineMavors, Laefuscaedenives, glaciemqueAqui!enibu!auSan), Ptrrumpit andenï Utbpondere betUger axis. Idem «t. <7. ~i. Qualis npud eelidi enm Huminaconeitus Hebr!, SanguineusMavoMclypeo increpat. Ff~. ~!n< n.33t. (t) Martis in Thracia fepulcrum demon~ratur, C&’n. Nom.N«op!f<. lib. <o. cap. t~. (t) Ille Furentes. BiRonas, & Get!cas populatus oedibus urbe*, Turbidus aethereascurrus urgebat ad arce!. &«tM, Thebaid.). vf. tl0. (~) Martis oraculum apud hos viros. De Thracibus qui AC.m incolunt. H<ro<<o<. 7. ye. Hic ( in Biftonibus Mercunus) (terUes delubra noMt Mavortia Sylvas Horrefcitque tuens ubi mille furotibus illi Cingitor adverfo domus immanfueca fub ~mo. ~Mt/tf* J%e&<M~. 7. 40. The~modûonGradivo racer. ~~er. M<!t<?. ~fee". t . < (4) ScordMci&wi quondam & tntcet, ut antiquim cela < fon (t) tom&eau.Comme il <vo!t c!t0iu fa pt-~ e trie (i) pour être le théâtre le plus ordinairede ’us Cesexploitsj il y avoit auui un grand nombrede le ianduairesj (3) fur les montagnesprès desfleu- ue ves ou dansdes lOtéts. ne

o-

Les auteurs au! m’ont fourni ce que je viens les de remarque" s accordent à nous dire que les tes peuplesCc/fMadoroientle dieu Mars. La plupart de ces auteurs font même dans l’idée que le Mars des Cc&Mëtoit une divinité différentede ?. ~eur Mercure. Je trois cependant qu’ikfë font M- trompé?, & qu’ils ont attribué mal à pro-

ns pos, à ces peuples d’adorer avec Mercure

ré- qui étoit leur dieu (upréme un dieuinfë- f<t- yeur qui préCdoit à la guerre. Voici mes

nt raifons..

tes !°. Heft connant que !e nom de Mars n’étoic nn point connu parmiles peuples Scythes & C</tM. je Ceux qui ont dit que ces nationsoffroientdes les lacrincesA MMs ou a (4) Beupne onc mivi en ai-~