Page:Encyclopédie méthodique - Philosophie - T1, p2, C-COU.djvu/66

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CEL CEL ~<oa ~M Sabins qui étoient que les romains ont aboli de fi bonne heure le ombrien ou Ce/M. Il v a t barbareutase d’itnmn)prftf":v:rr..t h~m~.no~ MM<~dans la religion ~M ~~«M., qui étoient un peuple [t] Ombrien ou Ce/M. Il y a toute apparencequ~i!ne témoignatant de prcdi- !ettion pour la forêt d’jquepxrcequ’eHa étoit fun des plus anciens & des plus célèbres ftnetutiresque la dëenë Ops qui fut enfuiteap- peitëeDiane eut en Italie. Le culte de la Diane Taurique étoit aufH établi de toute anciennetéà Lacédémone.[i] MOn y onroit dans le commencementj des victimeshumaines a !aDianeappeUéeO~o- » fia. Maiscette coutumeparoinant trop barbare M à Lycurgueil y {ubRituacelle de faire fouet- ter des jeunes gens jutqu’au fang devant rau- Mtel de la deefle ». pau&nias dit la même chofeque Suidas dont je viensde rapporterles paroles. Mais il ajoute, ~~quet’idoJe, qui(e p).tHoità reffunon du fang avoit apporté cette tncttnationd~ja Tauride où on lui immoloitdes victimeshumaines.Cet auteur fuppofedonc que la ltatue de Diane fut portée de la Tauride à Lacédëmone oc non pas dans ie voifinagede Rome comme le prétendenttes auteurs Latins. ServiuscroitteverfortheMreufementhtcontradic- tionou tes biftoriensfont tombés fur cet article endifant, [~ que ces barbares(acnnces dé- ptjitant aux ronMuns quoiqu’on n’immolâtque des e<ctave< ta Diane qa’OreUe avoitap- portée en itaUe fut eranstëréej aprèsla mort de ce prince à Lacédémoneou t’en confervoiten- coreune imagedes ancienstacrinces, en faifant fouetterdes jeunes garçonsau pied de l’autel de la déeue. Je n’examtnepas fi cette conciliation peut étire reçue. Commentte culte de Diane a t’it pd être banni de t’hatie par tes ro- mains tcm~orte’ à tjacédémone & aboli en- finpar LycorgNe qui vivoit avantla fondation de la Vitte de Rome? Comment peut-on dire [OtH)1 quamdi(c’phn&tetrica ac tnib vetcnMBSabinoïum. fAf/!t< J’<mMt.«. . d’une G.. r. d’b Viirtz (*; Gentit nomine m)o cum ip& <d!bM murato, S~binMpro Umbfis appellatos. ZeAc<eM<ïTrat~Mw Tr. ~MttDioayf. N~<. JL.t. p. tu. (~ t.yc)trmï in<Hm:t<tageHanonem.v;nt!ti<exer- <l’~ titium in tecum hotrend~ ez<tH, Ephebcs enim antea inuno!aba«t Diant Ottho&c. ~<«A mZyM~e. Diana ()i 0~~ T~ <ty<t~t<t~«tjr<T~t~M)t <tM~t/<- ~tfWW ~<Mr~ <t~t<~<t~J<M F~/tM. f<M<Mt<. (?)u ~t. Mattuu (~ Sed cum poRea Romani! <actormn cntdetitat Bacct d))pt)ceret, ( qMtnqttamfervi intmotarentur, ad bis i Laconaseft Dtana tranibot, nbi <aen6eu centuctudo Non i a’!<)tetcent)))oTum verberibus <TMvat)tr,qui voeantnr clama Bofnonic.e quia ant H)ppoCti eentcudebant qui fM, t ptuta po<tet verbera toRtnere. Ore<ti$ vero oHa, comel abAntta Romam tcmfbM funt. Sfn’<m«<~MMa. illo il ’y.’K.t3t. ~y~ (<) !n Httpama Sagunti aiunt temptum Bian~, 1 Zacyntho advenue, cum conditoribut, annis ducentis ante exodMmTïop, ut autor e<tBeechus, !n~Mque oppidum. id haben, cui pepercit rettigtone induâus Annibal. JP~n. « . ~e. «) Quiburdam Celtis mos eft quotannis Dianx (a- ccre. ~r’w. ~e’Mf. ~it. Di:.nammaximeeohtnt Gatat-e. rMt. de Virt. m .< T. t. ~.<;y. (7) Invenit H!ic ( Sr. R<nKK«&ft~~MmM~~Mm) certa indicia, loca quonthm idotatri-EfmHemahci- para. Erant illic taptdes D)an.f, 6t id genus porten- tohs nonmntbtH<nt<:r!pti.)~t«t ~ma~/f, ~Mf~Dtf- ~f/<!e,_rom. La vie de St. Ktiian parte d’une Diane. qut étott fervie dans te diocèse de Vurtzbours ~fMf~ femm. de RetM FMne«eOrient. T. t. f . a7o. JUtt/MMT. t. ttj. (<) Xaretis, Dima PerGs. He/yeA.Artaxerxes A<pa. nom teett tacerdotem Dtan-eEëbstan<! euît.e, quam Anittn vocant. P~M~A. ~MjM~r. Mp. t~. Lydis eft DiameAnaïtidot &nmn. F<H<ta.Lacon.p. ~4~. M Jmtta (Btttannides) parvarum mMarmn atiu’: tractus, quo uxtoreshominum ex ulteriore ripa i)tuf~ rrtumAmntfarumprofe&f, peraKunttuxtaritum facra Baccho, redimitznedcf.Bnigra to!ia habentis corym- bis, noaurnz. Strepitus autem tinnutus excitatur. Non fic Thracii juxta ripas AbHnthi, Biftonides in- clamant mutti&emumhaphioKn, neque fic cum libe- ris, ntgros habentem vortices circa Gangem tndi cemeHatMnemagitant va’ds A?tpero Diony~s, ËcME iHo in toco crant mulieres. D<M}’ ftn~. tyo. vy~ rrtum que les romains ont aboli de fi bonne heure le barbare ufaged’immoler des victimeshumaines pendant:qu’il eR conttantque cette coutume fub- Mttaà Rome plufieurs uècles après la fondation dela Ville ? Solin leveroit bien mieuxla difficul- té. I! prétend qu’Orefle retourna à Argos après ion voyage d’Italie mais au Heu de Im faire emporter fa Diane, il affure expKHëmenc que ce prince la laiffaà ~rA/f pour obéir à un oraclequi t’avoit ainfiordonné.Sansm’embarraf- (er de ces fables tout ce que je fouhaitequ’on remaMueici c~eirqne, ju(qu’au tems de Lycur- gue, es tacedémomensont immolédes victimes humainesà la Diane des Scythes e’ett-à-dire à la terre. Après !e détail où je viensd’entrer, {eferois peut-être en droit de iuppofgrque la Diane dont on attribue le culte aux autres peuples Cf/fM comme, par exempie [~ aux e(pagno!s [6j auxgau!o!s, [7] aux germains f8l aux pet~s, étoit conthmment la terre. Par furabondancede droit donnons nous cependant la peine de rechercher fi l’on ne trouveroit pas parmi les anciens’gau!ois .quelques traces du culte que les autres peuplesCeltesrendoient à la terre. j~]