Page:Encyclopédie méthodique - Philosophie - T2, p1, CON-F.djvu/396

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'T E P’I Mt !ons) "par(on agilité, par (e : ~étti~es, & par Mtoutes les propriétés que !a ~Tbft nous tait Mperdre. L’âme e<i la principale caute du (entimentj Mqu’eue ne* produiroit pas c&p-ndant fi elle K n’étoif pas attachée a une certatne organiïacion. Le corps orgailif~ qui met l’ame en état de fentir, partage avec eiie, o ; par’eiie cette fa-Mcuite ; quoiqu’il ne partage pas les autres. C e(t pourquoi l’atïte fe retirar)t, !p cqrns ne fent K ptus. Il n’avoit point par lui-tnêmp le t~nprrtent, Mmais pat (on unioR avec un autre ~tr.ej qui l’a j Mparfaconrbrm~tionnatureUe, c’e.R-a -Mdire par une racùtté préparée en elle pour recevotr pa ;r-le mouvement~ des in)pre( !)ons t. (endMes & : letcornmuniq~ter au cpr,ps, à Mcaufe de ’acohenon tntime 8t du report fy~-Mp. .thique decesj.~ deux, parties. Et voi !a pCttrquot tant que Parne eOunie au corps, quand rnéine on en re~n.cherott dès membres, la (enSbi)ite (ub(t~. Mais cette fen<ibi))t~n’ëjt ptus d~s que !’ame a për) par la di(Ïb)ution, ioit’de tout îe corps, tfoit de Mqu :tqu’une de (es parues, où t’~me eit contenue principalemeht. Le corps ) :;fk : entier j 8~ avec toutes fes parties, quoique (ans (ëntiment~ parce qu’il a perdu cette quantité d’atome :, determinée par ta naturs pour con(tituerI’eHence de i’ame M. Ce~M<devient /’< !M<~r~ /ft. wprf. (6<). Quapd ce compo~ Ce diffout, t’ame <e x dt (perte& n’a ptus les mêmes facultés. E !)e ne reçoit plus d’impreHions ptr le mouyement, &’ p~r confequentj eUe n’a' plus de (entimertt ’j car on ne peut eônccvQtr que te (entimènt re~e dans un être qui n’a p !us les marnes rapports, & qui ne reço)t plus tes mêmes impreCions que torfqu’il (ehtoit M. P< ~<j <M /~Mt~<< ;oMp~. (Ibid.) i~. K L’am~eO cot~ppjf~ed~ atomes très-poHs a trës-rqnd~j aj~ez (embtabks aux atqmes de feu (.) (.IbiS.)

!( !. « 

La~pa~tiç)’ ;nfot)H9b}e4ç I*ame,a(on (tëge Mdans la poitrine, comme il paroît par les (en~tion

  • .d~ jpfg & ds. crainte, & (a partie irrai-

(onnabte ed dap ; tout re~e, du cprps (~). (i)f.ec .deG)( ! Meibem !it ~t~s-di~tent desatômes d~M li Part. hirt~. .1 ,1 HVoyet !;fitft.At~4.

  • ?Msuotenant 6 on rapporte tout ee que n’ouïs

M avons dit fur i’ame aux paffions & aux fenfations qu’elle éprouve, & : q~’on (e rappelle. M en mémeftems ce qu~ nous avons dit dans le M commencement j il fera aifé d’appercevMr qu’eues ont toutes leur, origine dans les imgr~-M 6ons reçues, par lefquetles on explique t&tM ’ ? les détails M. .R’r/Mf.M/t~ w~n~.f~f/M<c~c. (Seg. 7~ ). t’y. <’ Les mondes j ain~ique toutes tes :mtMt M concreticr s (inie& qui ont}da ta f&SemHxnee M av&c to)Mles objets que nou~ voyons j fe ~~at H formes de ruifini, e~fe ~.parant par des toùfbillons particutiers les uns p !ux grands les attire ! plus pet~s. Hs.(e d&Mmt.ont !es uns plus tôt, les autres plus tard, lt- ! uns par une caufe j les autres par un autre.

? I ! ne ~tt pas ero ;re no~ptus que t~ut. les 
  • ? mondes aient hgceC~ireîr~nt la rnen~e ngarg.

Les uns font ronds jÏësaut.res o,va !es,)~~tr~6 autrement. Cependant, toutes fortes, de ~ures ne leur conviennent pas M. O~f~~j~M~. (Seg.7.~), tS. cc Quand aux ehp~c~e !i) ne fan~Rj~ M. croire que tes, mpuyeTnensdes,a~res,, )eur.sr~ tours leurs ëdtpfcs, !e~rs !g :vers~ leurs CQ~-Mchers les autres ph~no’Tienes.(em~ia~~s foient caufespar aucune pujn~pcehëureu& Mtntmortehequ’tes ~PMy.etn$r)CHt,ou. qui auro.it dpnnsdesto~~ns.lecqtntn~ncen~n~ M Peut-an concilier les ~o~ns, les détails p6. MnibIeSj le courroux j l~.raveur~ avec par&tt M bonheur ? MI !s Be convienne&t q~â,. la foibleue j à, la crainte, à l’indigence (~. On ne d)ra p.oint n non-plus que ce font je ne fais quels êtres Mdivins &heureux, qut a~n~v.Qu)u~eu~-mémes Mfe charger de rouler avec les afires (~.) ?N’usons . M que-de.tetnnescopyenabj9s ;au.)~fp~~qu~ nous . M leur. devons, & ;dpa~opne~pu~(r, r.i~nd’duifp quj n’y fpit çont~rm~ tan~q~oi t~Q~sep (~nons ’M bientôt punis par le Moufle intarjeur d~ nQ ;s M, an~s. pifonsqup dans ;!ercomn~nc~n ;)~n~i !,s’~ M formé des lour~iltpns~atA~~q.~oMt pMduj~ te,tnande & en métne.Mtns.M.s~tptx.coatt~nt~ ! M. 8e UDtpu~l~ qu~ en, t~~tuent !e~ ph~na,-M mènes M, MVoyezM~x.t.1. (~) M. Meibom dont nous avons fuivi ta !~çon prêtent ~u’B~MMM atta~uoit dire~tetnent Ari~Ote/qui avoit dtf que les aftres étoisnt eondittMeaf de~tttea <ieMtute~h~eoudefe)tc~eRe. :