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Page:Encyclopedie Planches volume 3.djvu/342

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43. Poinçon pour river.

44. Autre lime à timbre.

45. Petit équarrissoir.

46. Autre petit équarrissoir.

47. Foret à noyon.

48. Foret.

49. Fraize.

50. Autre sorte de Fraize.

51. Autre sorte de foret.


PLANCHE XV. cotée MM.

Fig. 52. Compas à quart de cercle; une des pointes est à champignon.

53. Compas élastique ou à ressort.

54. Outil pour polir les faces des pignons.

55. Huit de chiffre.

56. Compas au tiers.

57. Calibre à pignons.

58. Maître-à-danser.

59. Compas à verge.

60. Levier pour égaler la fusée au ressort.

PLANCHE XVI. cotée NN.

Fig. 61. Clé pour remonter les montres.

62. Outil pour polir le bout des vis.

63. Échantillon.

64. Arbre excentrique avec son cuivrot.

65. Arbre excentrique séparé de son cuivrot.

66. Bruxelles à deux pinces.

67. Bruxelles d'une autre espece.

68. Porte-aiguille pour goupille.

69. Arbre pour mettre les ressorts dans les barillets.

70. Estampe quarrée.

71. Pointeau.

72. Outil pour porter l'huile ou porte-huile.

73. Crochet pour mettre les pivots dans leurs trous, lorsque l'on remonte une piece.

74. Profil de l'outil pour les engrenages.

75. L'outil à engrenages vû en perspective.

76. Presse pour river.

77. Outil pour mettre de niveau les pivots de la roue de rencontre.

78. Outil pour retrouver la place d'un trou que l'on rebouche.

79. Plan de la main.

80. La main en perspective.

PLANCHE XVII. cotée OO.

Fig. 82. Tenailles à vis.

83. Tenailles ou pincettes tranchantes.

84. Tenailles à boucles.

85. Autres tenailles à boucles.

86. Pincettes tranchantes ou à onglet.

87. Petit étau à main.

88. Pincettes.

89. Sorte de petit étau.

90. Pincettes rondes.

91. Pincettes à pointes rondes.

92. Filiere.


PLANCHE XVIII. cotee PP.

Fig. 93. Élévation de l'outil pour placer les ressorts de pendules dans leurs barillets, vûe du côté de la manivelle & de l'encliquetage: la partie inférieure se place entre les machoires de l'étau.

94. Le même outil vû du côté opposé, c'est-à-dire du côté du tourillon sur lequel s'enroule le ressort.

95. Profil du même outil vû du côté qui est tourné vers l'ouvrier qui en fait usage.

96. Représentation perspective de l'outil servant pour placer les ressorts de montres dans leurs barillets: Il y a de même un encliquetage du côté de la manivelle, & de l'autre bout une boîte qui reçoit le quarre de l'arbre du barillet, & sur cet arbre un ressort ployé prêt à être mis dans un barillet.

Bas de la Planche.

Machine de l'invention de M. Goussier pour mettre les roues de montres droites en cage, c'est-à-dire pour faire que leurs arbres ou axes soient perpendiculaires aux platines.

Fig. A. La machine vûe en perspective, & garnie de la main qui tient la montre.

B. Profil de la même machine: la partie inférieure qui est épaulée dans tout son pourtour, est reçue entre les machoires de l'étau, lorsque l'on se sert de cette machine.

a a. Le porte-poinçon de forme trapezoïdale vû par le devant ou côté de la petite base du trapeze: on voit à la partie inférieure la vis qui assujettit le poinçon qui est représenté à côté; cette piece doit être parfaitement dressée sur toutes ses faces, & couler à frottement dans les mortaises en trapeze qu'elle traverse; sa direction doit être perpendiculaire au plan de la base sur lequel la main est posée.

b b. La même piece ou porte-poinçon vû du côté de la large face à laquelle s'applique le ressort de compression qui fait appliquer les faces obliques du trapeze sur celles des mortaises.

c c. Le ressort vû en perspective; ses deux extrémités terminées en fourchettes, embrassent les bras dans lesquels les mortaises sont pratiquées; l'ouverture du ressort reçoit le porte-poinçon.

CD. Plan de la base de la machine vûe par-dessus. L'ouverture C communique avec cinq autres ouvertures pour pouvoir excentrer à volonté la main qui porte la montre & amener tel point que l'on voudra de la surface des platines directement au-dessous du poinçon. D est la section du montant qui porte les bras.

E. Écrou à oreilles servant à assujettir la main sur la base comme on voit au profil, fig. B.

F. Platine de dessous de la main; son ouverture reçoit la vis qui est placée au-dessus: cette vis après avoir traversé cette platine est reçue par l'écrou E; cette piece doit être un peu emboutie en creux afin de ne porter que par les bords: il en est de même de la face inférieure de la platine qui porte la main.

G. La vis qui traverse la main placée au-dessus, & la platine F qui est au-dessous la partie non taraudée de cette vis, occupe l'épaisseur de la base C, dans les ouvertures de laquelle elle peut se promener & être fixée où l'on veut, pour excentrer la main & la montre qu'elle porte.

H. La main en perspective & non garnie d'une cage de montre, comme dans la fig. A. La vis G traverse en-dessus la platine sur laquelle la main est montée & soutenue parallelement par trois piliers. Entre ces piliers sont les trois écrous à gaudrons, au moyen desquels on serre les griffes qui saisissent la platine de la montre; les entailles des griffes doivent être dans un plan parallele à la base de la machine, afin que le porte-poinçon soit perpendiculaire aux platines des cages de montre que ces griffes reçoivent.

Usage de cette machine.

Supposons qu'un trou de pivot dans la petite platine d'une montre, figure A, ait été rebouché & qu'il soit question de retrouver le point où il convient de percer un nouveau trou pour le pivot, de maniere que la tige de la roue qui y sera placée, & dans le trou de l'autre platine dont on cherche le correspondant, soit perpendiculaire aux mêmes platines. On commencera par placer la grande platine dans les griffes de la main où elle sera affermie par les vis qui servent à serrer les griffes; ensuite ayant desserré la vis E au-dessous de la base, on promenera la main sur cette base & on la fera tourner sur elle-même jusqu'à ce que le point dont on cherche le correspondant soit amené au-dessous du poinçon que l'on y fera entrer légerement. On fixera la main dans