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L’AMI FRITZ.
— Bah ! tu te fais plus vieille que tu n’es, dit Fritz, — intérieurement satisfait de ce désir, qui s’accordait si bien avec le sien ; — je ne t’ai jamais vue plus vive, plus alerte.
— Oh ! vous n’y regardez pas de près.
— Enfin, dit-il en riant, le principal, c’est que tout soit en ordre pour demain. »
Il examina de nouveau son bel habit, son gilet blanc, sa cravate à coins brodés, son pantalon noisette et sa chemise à jabot. Puis, regardant Katel qui attendait.
« C’est tout ? fit-il.
— Oui monsieur,
— Eh bien ! maintenant, je vais boire une bonne chope.
— Et moi, préparer le souper. »
Il décrocha sa grosse pipe d’écume de la muraille, et sortit en sifflant comme un merle.
Katel rentra dans la cuisine.
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