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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/102

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LUBRICITÉS

assez éloignée du salon, où, chose curieuse, on a entassé une véritable montagne de feuillages et de guirlandes de verdure, préparés pour pavoiser l’hôtel le jour de la fête du souverain, qui tombait sous peu de jours.

À peine entrés, robe, corset, jupons, chemise sont à bas en une seconde ; Alf. culbute Aspasie sur cette litière champêtre et plonge violemment sa pine fangeuse dans le con de son aimable succube, qu’il inonde d’une décharge abondante, mais trop prompte au gré de sa baiseuse gourmande, qui se remue, s’agite si ardemment qu’une deuxième éjaculation succède bientôt à la première.

Après cette récidive seulement, Alf., reprenant haleine, peut se régaler de la