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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/108

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LUBRICITÉS

D’un mouvement rapide comme l’éclair, elle fut à poil comme ses amies, exhibant aux lumières des lustres et des girandoles un corps d’une élégance exquise ! d’une beauté et d’une suavité de formes capable de faire bander même les séraphins !

Mais, chose incroyable, inouïe ! Lorsque dans cet état idéal au possible l’adorable mignonne voulut s’offrir aux caresses de son cavalier… celui-ci avait disparu.

Personne pour la calmer ! pour fêter ce merveilleux bijou de chair, ce divin joyau vivant.

Tous les cons étant pour l’instant occupés, et aucun membre viril n’étant disponible pour le sien, il est facile d’imaginer quel horrible supplice de Tantale elle endurait ! La pauvrette