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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/110

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LUBRICITÉS

cousine par une savoureuse minette à son appétissant petit chat.

Bientôt les cris, les soupirs de pâmoison que cette jouissance en partie double arrachait aux conjouïsseurs excitèrent l’envie des autres ; tous voulurent éprouver la même volupté.

Alors, chacune céda à tour de rôle son fouteur à Calypso, qui, pendant qu’on l’enfilait, suçait à langue que veux-tu le bouton de ses compagnes.

Ainsi tout le monde jouissait ensemble.