Aller au contenu

Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/111

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ÉPILOGUE

Lorsque le petit jour mit fin à cette délicieuse nuit orgiaque, on eut enfin le secret de la placidité du pianiste.

Dans une pièce voisine on le trouva endormi, le ventre collé au fessier