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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/17

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AU FOYER DE L’OPÉRA

je le répète, ont joui et déchargé dans les mêmes conditions.

— Par exemple, ça c’est un peu raide.

— Ce qu’il y avait de raide alors, c’étaient nos vits.

— On n’en doute pas. Seulement…

— Seulement… Vous ne seriez pas fâchés de savoir comment cela se passait ?

— Ces choses-là font toujours plaisir à apprendre.

C’était là tout ce que désirait C. D…

Il mourait d’envie de placer sa petite obscénité, mais il voulait qu’on l’en priât, ou tout au moins qu’on parut le souhaiter.

Aussi, ce fut sans se faire trop violence qu’il reprit :

— Vous n’êtes pas sans avoir rencon-