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Page:Erosmane - Lubricités, récits intimes et véridiques, 1891.djvu/36

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LUBRICITÉS

teur en révélant la pureté immaculée de sa nièce.

Ah ! on ne l’avait pas calomniée en exaltant ses beautés intimes, ça je vous en réponds.

Si nos robes de palais n’avaient dévoilé le secret de nos braillettes, on eut pu nous voir tous bander comme de vigoureux carmes, en écarquillant les yeux à la vue de l’amour de con offert à nos regards.

Il est impossible de rêver une plus admirable merveille de chair blanche, rose et poilue.

Les docteurs eurent beau écarter les lèvres de ce séduisant vagin et chercher à l’envi l’un de l’autre à l’entrouvrir, le bout du petit doigt lui-même n’y pouvait pénétrer. Il était donc de toute impossi-