Page:Essai sur la régénération physique, morale et politique des Juifs.djvu/202

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NOTES.


CHAPITRE PREMIER.



(1) Voyez les dissertations de M. de Correvon à la suite de sa traduction du traité d’Adisson sur la religion, chrét. Geneve 1771, T. 3. N’est-il pas affreux, dit le Traducteur, de voir les Juifs suivre aveuglément Barchochebas, qui n’avoit que son nom pour étayer sa mission, tandis qu’ils avoient rejetté Jesus-Christ, dont tout annonçoit la divinité ?

(2) St. Jérôme in Sophoni. Chap. X.

(3) Leges Wisigothorum. Chap. XII.

(4) Chronic. rothomag. in novà bibliot. MS. T. I, pag. 363.

(5) Quelques auteurs, comme le Chronographe Saxon, et le Chroniqueur de Wurtzbourg, réduisent ce nombre à 1014. Il a plu à des écrivains modernes de faire une espece d’inversion dans ce calcul, et d’en tuer 14000. N’exagérons pas ; mille innocens égorgés, c’en est bien assez pour déchirer le cœur.

(6) Annales Bolorum. Liv. V.

(7) Epistol. 322 et 323. Metz est peut-être la seule ville où les Croisés n’ayent pas trempé leurs mains dans le sang des Juifs. Louis le jeune, partant pour la Palestine, y assembla son armée, et cependant il n’est pas dit qu’ils y ayent reçu aucun outrage. Le silence de l’histoire à cet égard, vaut une preuve positive, si l’on considere que Metz avoit alors des historiographes.

(8) J’espere tracer un jour les révolutions du peuple