C’est toi qui l’as voulu ; n’accuse personne autre.
En quoi faisant ? Est-ce en épousant un autre homme, en te trahissant ?
En poussant des imprécations impies contre les Rois.
C’est moi qui, dans ta demeure, ai subi des imprécations.
Je ne lutterai pas plus longtemps sur ceci avec toi ; mais si, dans ton exil, tu veux recevoir quelque secours de mes biens pour toi et pour tes enfants, parle. Je suis prêt à te l’offrir largement et à envoyer des symboles à mes hôtes qui te seront bienveillants. Si tu refuses, tu agiras en insensée, femme ! mais, si tu apaises ta colère, tu en recueilleras de meilleurs avantages.
Je n’userai pas de tes hôtes ; je n’accepterai rien, et tu ne me donneras rien, car les dons du méchant n’apportent aucun profit.
Cependant, j’atteste les Dieux que je veux vous venir en aide, à toi et à tes enfants. Mais mes bienfaits ne te plaisent point et tu repousses tes amis avec insolence. C’est pourquoi tu n’en gémiras que davantage.