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Page:Euripide - Théâtre, Artaud, 1842, tome 1.djvu/509

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Aussi longtemps que tu conserveras ta faveur à cette ville, nous n’avons rien à craindre de l’avenir.


LE CHŒUR

Allons, Adraste, prêtons le serment que réclament Athènes et Thésée. Les services qu’ils nous ont rendus méritent notre reconnaissance.

Fin des Suppliantes.