Page:Evariste Huc - Empire chinois ed 5 vol 2.djvu/486

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de l’année 1838. Il nous fut donné de revoir la patrie en 1852. C’était au mois de juin, à l’époque de nos ravissantes solennités de la Fête-Dieu. La ville de Marseille présentait alors un spectacle qui ne s’effacera jamais de notre souvenir. Mon Dieu ! que nous la trouvâmes belle notre France catholique, et bien digne de la prédilection et de l’amour de tous ses enfants ! …. Que le Seigneur soit à jamais béni de nous avoir permis d’endurer quelques souffrances parmi les nations étrangères, puisqu’il nous réservait un bonheur que nul homme peut-être n’a ressenti et que ne saurait exprimer notre langage si pâle et si décoloré ! …

FIN DU TOME SECOND ET DERNIER.