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Page:Eyraud - Voyage à Vénus.djvu/285

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VOYAGE À VÉNUS

mélodieux glosulis semble soupirer un tendre épithalame !

— Que je voudrais, me répondit Célia, m’égarer avec vous en ces douces rêveries… mais hélas ! une appréhension superstitieuse arrête l’essor de ma pensée. Dans nos campagnes, le chant du glosulis passe pour porter malheur…

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