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LA VIE ET LA MORT DES FÉES

sous sa robe funèbre, la blessure inguérissable de son amour un bref instant trahi. Et nous en concluons que, si les fées firent souvent du mal aux hommes qu’elles haïssaient, les hommes n’en firent pas moins souvent aux fées qu’ils aimaient, de sorte que les hommes eurent peut-être moins à souffrir des fées que les fées des hommes…