Page:Féret - L’Arc d’Ulysse, 1919.djvu/119

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


L’Art peuple ton silence et ton recueillement,
Des matins que tu n’as pas vécus il réveille
Les roses dans les vents pâmés, et le tourment
Et c’est le Dieu caché derrière la Merveille.

❦❦