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Page:Féron - L'étrange musicien, 1930.djvu/52

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L’ÉTRANGE MUSICIEN

neaux de vin fussent roulés sur la place du Château.

Pour le Comte de Frontenac ce fut peut-être le plus beau jour de son gouvernement en Nouvelle-France, car il pouvait se dire que sa puissance était maintenant assise sur un socle inébranlable.

Le peuple… tout le peuple, au reste, l’appuyait et l’acclamait…

— Vive notre gouverneur !

Et l’écho portait ce joyeux vivat jusqu’aux crêtes les plus lointaines des Laurentides…



FIN.