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Page:Féval - La Quittance de minuit, 1846 - tome 2.djvu/292

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DEUXIÈME PARTIE

L’âme de Jermyn était dans ses yeux qui flamboyaient.

La foule trépignait de rage et d’impatience.

— Allons ! mon fils, allons !…

Jermyn mit son doigt sur la détente. La bouche du fusil vomit un cône de fumée, et le coup retentit, faible, dans l’immensité des bogs.

Les deux fugitifs semblèrent chanceler à la fois sur leurs poneys. Le vent souleva un coin du capuchon de la mante rouge.

L’arme s’échappa des mains de Jermyn qui tomba sur ses genoux en gémissant le nom d’Ellen…

La foule hurlait triomphante…

FIN DU DEUXIÈME VOLUME.