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Page:Féval - La Quittance de minuit, 1846 - tome 3.djvu/120

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TROISIÈME PARTIE.

— C’est de la folie furieuse ! dit Montrath.

Mary haussa les épaules.

— Faites apporter du rhum, dit-elle ; et, cette fois, qu’on ne remporte pas le flacon !

Lord George sonna. Le valet revint avec son plateau, qu’il déposa sur un guéridon, auprès de Mary Wood.

— À la bonne heure !… dit-elle en se versant un grand verre, nous allons pouvoir causer raisonnablement… Montrath, je bois à la santé de vos deux femmes !