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Page:Féval - La Quittance de minuit, 1846 - tome 3.djvu/240

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TROISIÈME PARTIE.

Mortimer, étendu sans mouvement sur le lit, remuait ses lèvres sans produire aucun son. On devinait ses efforts muets ; on devinait les paroles prononcées au dedans de lui-même, et que son anéantissement étouffait au passage.

Il voulait mourir à son poste ; il demandait le péril ; il disait :

— Un cheval ! un cheval !…