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Page:Féval - Le Dernier vivant, volume 2 (1873).djvu/400

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394 LE DERNIER VIVANT,

dans les bas-fonds de notre société, des écoles spéciales de scélératesses, on y passe les examens d'un sinistre baccalauréat, on y reçoit des docteurs ês-crimes 1...

» ILm'est arrivé de le dire. une fois {et il ne voulait pas me croire |) à l'avocat éminent qui s'est donné la mission la plus belle, la plus véritablement noble, qui puisse honorer un homme do cœur, à M° Lucien Thi. baut, le DÉFENSEUR DE SA FEMME... »

Ici, Le président fut obligé de réprimer les applau- dissements.

Je supprime le reste de la tirade qui posa M. Cresson. neau aîné sur un très-joli piédestal et le mit décidément à la tête de la jeune école.

L'accusation fut abandonnée.

Lucien n'a plus jamais entendu parler de la métapsy- chie. La santé de sa belle intelligence est robuste et compiète. RÉRRR

Où paya néanmoins le mois comèté du dogteur Chapart. e

Jeanne est heureuse, et si belle deux chers enfants,