Page:Féval - Le Loup blanc, 1883.djvu/84

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Son cœur battit de joie, car un rayon de lune, glissant au travers des branches, éclairait un objet blanc sur le talus.

— Georges ! cria-t-il.

Georges ne répondit point.

Jean Blanc franchit en deux bonds la distance qui le séparait du talus et tomba sur ses genoux.

— Georges ! dit-il encore.

Et comme l’objet blanc restait immobile, Jean le toucha. C’était son justaucorps de peau.

L’enfant avait disparu.


FIN DU PROLOGUE