Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/196

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
184
LES AMOURS

reproche… ce que Dieu veut, nous devons le vouloir…

Il s’arrêta encore. – Sa voix s’affaiblissait.

– Adieu, madame ma mère, reprit-il ; – adieu, madame de Maillepré… ma Louise ! Je vous aime en mourant comme je vous aimai toute ma vie… Adieu, Gaston, mon fils noble et cher…

Gaston, soutenu par sa mère en larmes, vint se mettre à genoux au chevet du lit. – Les trois jeunes filles y étaient déjà. – Chaque fois que le malade s’interrompait, on entendait des sanglots étouffés et la toux sourde, implacable de l’héritier de Maillepré…