Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 1.djvu/197

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– Ne vous inquiétez point de moi, dit encore le marquis ; – nos aïeux ont fondé trop de lits dans les hospices de Paris pour que Maillepré mourant n’y puisse trouver place… Adieu, vous tous, ma femme et mes enfans bien-aimés… Berthe, Charlotte… et Sainte mon pauvre bel ange !

Il se tut. – Biot remit sa tête sur l’oreiller.

La vieille duchesse sommeillait sur son fauteuil de paille…

Les lèvres du malade s’entr’ouvrirent une dernière fois. Les sanglots firent silence, et l’on entendit :

– Mon Dieu !… que j’aurais voulu voir cet