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Page:Féval - Les Amours de Paris - 1845, volume 4.djvu/401

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LES AMOURS

LES AMOURS maux féroces sur les monstres vaincus par sa puissance. of ien M. Williams disait doucement : Que mon père se repose. Il n'y a point d'ennemis autour de sa couche... Et quand il dormira, son fils fera la veille autour de son yofoor. sommeil... ndls tanlanon be koviaigin se Le vieillard se repliait.craintivement sur mo lui-meme, et s'étendait de nouveau sur sa couche. ibaod Puis on entendait encore son chant mono- tone et voilé. Mais, à mesure que la soirée s'avançait, ce amos A chant s'assourdissait davantage. Les notes