Page:Féval - Les Belles-de-nuit ou les Anges de la famille, tome 1, 1850.djvu/47

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voix trembla davantage ; de M. Louis ?… il n’est donc pas mort ?…

L’Américain eut un gros rire joyeux et franc.

— Pas que je sache, répliqua-t-il.

— Et vous le connaissez ?

— Mon digne M. Géraud, repartit Robert en clignant de l’œil, pourquoi toutes ces questions ?… Depuis deux minutes, vous avez deviné que je vais au château de la part du pauvre Louis de Penhoël.

Blaise se mit à tisonner le feu pour dissimuler son enthousiasme.

Une larme roula sur la joue du père Géraud.