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Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 2.djvu/458

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Il y avait tout un bataillon d’agents dans le corridor.

Chopé, relevé, lui noua ses deux bras autour du corps par derrière.

— Tiens le bien, garçon ! dit la voix de M. Morfil qui perça les rangs de ses hommes et montra sur le pas de la porte sa bonne petite figure ronde, entourée de cheveux blancs hérissés. Quel gaillard ! Depuis que je suis dans la partie, je n’ai jamais vu besogne pareille à celle qu’il a taillée cette nuit !