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Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 2.djvu/459

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LV

DESTINS D’UNE CAUSE CÉLÈBRE


Une demi-heure s’était écoulée.

Il n’y avait plus dans la chambre que la famille de Sampierre et les braves seigneurs du conseil qui, probablement, ne s’étaient jamais trouvés à semblable fête.

Domenica, Édouard et Charlotte formaient un groupe à part. La bonne marquise, entre ses deux enfants, était tout entière à la joie.

Grâce à la condition presque enfantine de sa nature intellectuelle, les terribles impressions de cette nuit allaient déjà s’effaçant. Elle ne se souvenait plus des