Page:Féval - Les Cinq - 1875, volume 2.djvu/65

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Pour la première fois peut-être, Lorenzin la regarda en face et répondit :

— C’est le ton qui me convient. Si vous n’êtes pas contente, la belle, allez vous plaindre à MM.  de Sampierre, le comte et le marquis. Ils sont tous les deux au pavillon, allez leur demander votre reste !