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VII

LES TROIS PREMIERS PORTRAITS


Nous sommes au pavillon Roland.

C’était une chambre assez vaste, mais surtout très longue, éclairée par quatre fenêtres qui se faisaient face, deux à deux. Deux de ces fenêtres donnaient sur la partie la plus ombreuse de l’enclos ou parc de Sampierre, les deux autres s’ouvraient sur cette large avenue de marronniers par laquelle nous vîmes descendre il y a peu d’instants la berline de famille qui ramenait M. le marquis dans sa maison.

La chambre était de celles que les personnes préposées à la location des appartements appellent gaies. La