Page:Féval - Les Compagnons du trésor, 1872, Tome I.djvu/108

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


X

Irène


Vincent resta un instant immobile et suivant des yeux Marie-de-Grâce, qui s’éloignait.

Irène s’était élancée à sa rencontre et lui avait jeté les bras autour du cou.

Il fut réveillé par le baiser de la fillette, dont les grands yeux étonnés interrogeaient son regard.

— On dirait que tu la connais, père, murmura-t-elle.

Vincent eut un mouvement d’impatience ou de dépit.