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VII
Fanchette
Le lendemain, vers dix heures du matin, la maison de Vincent Carpentier, d’ordinaire si tranquille, s’emplit de gaieté et de bruit.
À la porte de la rue, pauvre rue et pauvre porte, deux beaux chevaux piaffaient, attelés à une calèche armoriée.
Sur le siège de la calèche, Giovan-Battista, le cocher napolitain du colonel Bozzo, trônait, et, sur l’arrière-marche, Giampietro, le valet de pied sicilien, se tenait debout.