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Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 01.djvu/219

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ment, comprit à faux et regarda lady Ophelia d’un air étonné.

Celle-ci se prit à sourire avec tristesse.

— Peut-être vous donnerai-je les moyens de combattre Rio-Santo, poursuivit-elle ; car on ne peut pas vaincre Rio-Santo avec des armes ordinaires…

— Toujours Rio-Santo ! pensa Frank, qui se sentait monter au cœur une haine furieuse et sans limites.

— Venez me voir demain, poursuivit la comtesse de Derby, les choses que je dois vous apprendre se disent à voix basse et portes closes, dans une chambre où l’on est deux… et encore celui qui parle est en péril, comme